Emission sur France Culture : L'Arménie et les lois mémorielles Lien rstp Quelles limites les mémoires vives, portées par des communautés, peuvent-elles légitimement imposer aux historiens au nom d’une réécriture de l’histoire ? Faut-il sanctuariser légalement une version définitive de l’histoire, afin de préserver la sensibilité des survivants et de leurs descendants ? Quels sont les risques de voir l’histoire se transformer en un tribunal du passé, plaquant de manière anachronique des jugements inspirés par l’état actuel de nos sensibilités - sur des faits dont la logique profonde nous échappe de plus en plus ? Revue de Presse « Aujourd’hui, des mémoires particulières protestent en estimant qu’il ne leur est pas fait place dans l’Histoire. Mais il se trouve que la vertu de l’Histoire, c’est justement de se dégager des particularismes des mémoires, pour considérer le passé de façon plus large, en prenant en compte la multiplicité des points de vue. L’Histoire est l’apprentissage ...