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Robert Nozick et l'Etat minimal
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L'ÉTAT MINIMAL Déjà formulée au XIXe, siècle par les libéraux français (Jean-Baptiste Say, Destutt de Tracy, Bastiat mais aussi Charles Comte et Charles Dunoyer), la revendication de l’État minimal a resurgi avec vigueur aux États-Unis au cours du XXe siècle en consonance avec celles du « moins d'État ». Voici un passage du livre d'Alain Laurent : Les grands courants du libéralisme, Armand Colin, p. 78-81 , sur Robert Nozick et l'État minimal. A la fin, j'ai mis quelques citations et extraits de Nozick. Voir aussi mon ppt Rawls vs Nozick L'ÉTAT-AGENCE DE PROTECTION : R. NOZICK Auteur du très remarqué Anarchie, État et utopie (1974/1988, PUF) où il réfute les thèses de Rawls et, comme ce dernier, professeur de philosophie à Harvard, Robert Nozick (1938-2002) s'efforce d'établir que la logique de la protection des droits individuels cadrée par le jusnaturalisme lockéen et l'éthique kantienne doit conduire, par un processus de type « main invis
Libéralisme et justice pénale. Alain Laurent
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Conpte-rendu de l'intervention d'Alain Laurent le jeudi 10 juin, dans le cadre de son séminaire privé : Chemins de traverse du libéralisme. A/ La philosophie pénale : un sujet omis par les libéraux. Nous allons traiter d’un thème qui est, une fois de plus, un point aveugle dans la pensée libérale alors que c’est un problème central des sociétés démocratiques libérales : la philosophie pénale, le droit pénal. Il est surprenant de constater que chez les grands penseurs libéraux consacrés, non seulement il n’y a pas d’ouvrages qui, en tant que tels, traitent de cette problématique mais aussi, pour les avoir lus et relus, il n’y a parfois même pas de chapitre ou deux-trois pages traitant de cela. C’est surprenant parce qu’on ne peut pas en dire autant chez les adversaires du libéralisme qui se sont longuement emparés de ce sujet. Bien sûr, il y a bien des ouvrages qui traitent de la tolérance zéro et qui critiquent le laxisme dans lequel se sont abîmées peu à peu
Libéralisme et justice pénale
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Jeudi 10 juin avait lieu la dernière séance du séminaire d'Alain Laurent pour cette année scolaire Vous pouvez télécharger l'enregistrement audio complet ici : http://rapidshare.com/files/397814820/Alain_L_-_Damien_T.mp3 Première partie : Alain Laurent - du début à la 49e minute Seconde partie : Damien Theillier - de la 49e minute à la fin
Dernière séance du séminaire d'Alain Laurent
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Le droit pénal est l'une des clés de voûte d'une société de liberté. Tout ne tient qu'à condition que le droit individuel de vivre en sûreté ne soit violé par quiconque et pas seulement par l'Etat. Toutefois, les libéraux demeurent singulièrement timides ou muets au sujet des principes qui doivent fonder la philosophie pénale libérale et les applications qui en découlent. Dans les médias, la culture de l'excuse aidant, il est politiquement correct de dénoncer le tout-sécuritaire et le tout-répressif. La revendication d'abolition des prisons est à la mode et, simultanément, la justice se montre de plus en douce avec les criminels (ceux qui sont condamnés sont la plupart du temps remis en liberté après avoir exécuté seulement la moitié de leur peine...). N'est-il pas dès lors urgent de promouvoir une réflexion moralement et intellectuellement plus rigoureuse sur ces problèmes (comme le fait de son côté l'excellent Institut pour la Justice ) ? Alain Lauren
Séminaire d'Alain Laurent sur libéralisme et littérature
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Retranscription de la séance du 19 mai 2010 (pour écouter l'enregistrement, cliquez ici ) Première partie de la conférence : recension par Alain Laurent d'auteurs libéraux et questions Je vais aborder un sujet qui n'a pratiquement jamais été exploré ni traité, sur lequel il n'existe rien, ce sont les rapports étranges qui existent entre les libéraux, le libéralisme d'un côté et de l'autre la littérature et également le monde de l'art. Il y a, et tout le monde peut le constater, un divorce total entre les deux. Il s'agit donc de faire dans un premier temps un recensement sur le plan de la littérature (et non pas en philosophie) des auteurs. Il y a fort peu d'écrivains que l'on peut présenter comme libéraux. Pas seulement dans le moment présent mais dans toute l'histoire de la littérature que l'on peut faire commencer au 18ème siècle c'est à dire à l'apparition des premiers romans. A/ Distinction du sujet d'étude : Un
Séminaire d'Alain Laurent le 19 mai : Libéralisme, littérature et monde artistique
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Pourquoi y a t-il actuellement si peu d’écrivains et d’artistes libéraux ? Pourquoi y a-t-il tant d’hostilité au libéralisme dans le monde littéraire et cinématographique ? (Le libéralisme est pris ici dans sa dimension économique d’adhésion au libre-marché) Comment se fait-il qu’à l’exception d’Ayn Rand, il n’y ait aucun roman pro-capitaliste, et pourquoi les libéraux négligent-ils autant le recours à la fiction, à la science-fiction et au polar pour plaider leur cause ? Tout avait pourtant bien commencé entre libéralisme et littérature, surtout en France, avec Voltaire, Madame de Staël (photo), Benjamin Constant, Stendhal… Mais tout cela s'achève après 1830-1840. Au XXème siècle, à l’exception de Mario Vargas Llosa en Amérique du Sud, c'est surtout aux États-Unis que des écrivains comme John Dos Passos, Saul Bellow et surtout Ayn Rand, soutiendront le libéralisme dans son sens classique et non corrompu. Le séminaire d'Alain Laurent prendra la forme d'une int