A. Laurent (Epilogue)
Suite et fin des notes de lecture sur le livre d'Alain Laurent.
Alain Laurent écrit : « Voir les sociétés ouvertes occidentales se muer progressivement et sans réagir en vastes zones molles "humanitaires" à paisiblement squatter et si tolérantes envers leurs nouveaux ennemis de l'extérieur, les voir aussi tellement réceptives aux idéologies du renoncement mais si peu aux mises en garde de la pensée de résistance, voici qui ne peut manquer d'interpeller leurs vrais partisans. »
La société ouverte contiendrait-elle dans sa structure, son fondement, un vice de forme ? « Ne serait-elle même pas intrinsèquement porteuse d'une logique pouvant, si elle n'est pas accompagnée de contrepoids et d'une constante vigilance, finalement se retourner contre elle-même et la faire courir à sa perte ? »
La maladie (sénile) des sociétés ouvertes. Le climat psycho-moral de l'époque en Occident, en Europe et particulièrement en France est à la "